Les bureaux londoniens, madrilènes, et ceux implantés au sein du Quartier Central des Affaires de Paris ont ainsi connu une stabilisation de leurs taux de rendement au cours du premier semestre.
Au sein du marché britannique, fort marqueur des tendances européennes, la consolidation du rendement global au long du semestre est de nature à présager une potentielle reprise, bien que le décrochage de bureaux ne se poursuive.
En termes de performances, le rendement en capital européen traduit la persistance des corrections de valeurs vénales, toutefois inférieures à une période de repricing déjà bien actée.
S’agissant des intentions d’investissement à l’étranger, l’Allemagne conserve sa première place mais la détérioration de ses fondamentaux économiques est regardée de près par les acteurs. Les pays latins, soit l’Espagne et le Portugal, sont des marchés qui ont faiblement corrigé et se hissent en deuxième position des velléités d’investissement.