Le volume d’investissement affiche, quant à lui, un léger retrait, marqué par la rareté de transactions aux prix métriques élevés, en particulier en Ile-de-France, ainsi qu’à la remontée des taux de financement et à la frilosité croissante des banques à octroyer des crédits pour des actifs peu sécurisés.
Si l’éclatement de la guerre en Ukraine n’a pas eu d’effet sur les premiers mois de l’année, les futurs challenges (ralentissement économique, poursuite de la hausse des taux,…) pourraient impacter l’activité tant à la location qu’à l’investissement lors des prochains trimestres.
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