Après une accalmie de la demande placée francilienne au 1 er trimestre, la légère hausse amorcée au 2 ème trimestre s’est reconduite au 3 ème trimestre. Toutefois, cette faible hausse au 3 ème trimestre ne permet pas d’atteindre le même niveau que l’an dernier sur les neuf premiers mois : la demande placée y est en baisse de 13% et s’établit à seulement 1,3 millions de m². Mécaniquement le stock de bureaux se gonfle.
Au demeurant, les dynamiques de marché sont hétérogènes : la quasi totalité de la demande placée concerne le marché parisien ou le Croissant Ouest.
Parallèlement, l’offre immédiate perpétue son ascension (+10% sur les neuf premiers mois). La moitié de ces surfaces disponibles réside en 1 ère et 2 ème Couronne quand Paris ne représente qu’un peu plus du dixième de l’offre francilienne.